Avec la révolution numérique et l’avènement des nouvelles technologies, la digitalisation des achats s’accélère. À ce jour, la digitalisation des processus représente d’ailleurs l’une des principales priorités de la fonction achats.
Pour opérer leur transformation digitale, les directions achats commencent le plus souvent par dématérialiser leurs processus transactionnels à travers une solution d’e-procurement. En effet, il s’agit de processus particulièrement chronophages, répétitifs et sans réelle valeur ajoutée.
Pour autant, les entreprises ne disposent pas toujours d’une solution d’e-procurement pour l’ensemble de leurs typologies d’achats. En effet, la gestion des achats de classe A et B est généralement structurée au sein des organisations mais il en va différemment des achats de classe C, qui ne font souvent pas partie des priorités de la fonction achats.
Or, bien que cette typologie d’achats ne représente que 5 % des dépenses en entreprise selon la loi de Pareto, elle concentre jusqu’à 70 % des coûts cachés. Derrière les achats de classe C se dissimulent une multitude de fournisseurs à gérer, de commandes à traiter, de livraisons à réceptionner, etc. qui peuvent être rationalisés à travers une solution digitale. Au vu d’un tel constat, il semble impératif de mieux maîtriser les coûts totaux d’acquisition (TCO) des achats de classe C en dématérialisant le processus transactionnel.
En savoir plus à ce sujet dans notre livre blanc.