En février 2021, le spécialiste en fournitures d’entreprise Manutan Belgium a été certifié Great Place To Work. Ce label de qualité est décerné annuellement par le Great Place to Work® Institute Belgium en collaboration avec la Vlerick Business School. Il ne s’agit pas que d’une simple étiquette : GPTW est considéré à l’international comme le plus prestigieux label décerné aux employeurs. En résumé, les lieux de travail récompensés constituent des organisations où les collaborateurs sont fiers de leur travail et prennent plaisir à le faire. La manière dont Manutan a répondu aux défis posés par la crise de la COVID-19 a sans nul doute joué un rôle majeur dans l’obtention du score qui lui a été attribué.
Manutan élu à nouveau Great Place To Work
La durabilité au travailLa méthode Great Place to Work
L’analyse approfondie menée par Great Place to Work comporte deux volets : d’une part, un questionnaire anonyme est soumis aux collaborateurs (le Trust Index) et, d’autre part, un audit de la culture d’entreprise et des ressources humaines est réalisé (le Culture Audit). La Vlerick Business School agit en tant qu’institut coordinateur pour la Belgique. Les entreprises qui obtiennent un score supérieur à 80 % se voient décerner la certification Great Place to Work.
La satisfaction des collaborateurs comme priorité
La particularité de cette certification est la priorité accordée à l’évaluation réalisée par les collaborateurs. Les deux tiers du score final obtenu par l’organisation sont en effet déterminés par le score du Trust Index ©. « Nous sommes dès lors très fiers de notre résultat », explique Bruno Vanhauwaert, Sales Operations Manager chez Manutan Belgique et Allemagne. « D’autant plus au vu des circonstances que nous connaissons depuis mars 2020. Le télétravail continu ne permet pas toujours de travailler de manière agréable et de maintenir le lien entre les collègues de différents départements. C’est la raison pour laquelle nous avons rapidement lancé quelques initiatives très concrètes. »
Le télétravail sous le signe du plaisir
Pour ce faire, Manutan a d’abord écouté son personnel. Le matériel dont les collaborateurs avaient besoin pour travailler depuis chez eux leur a été livré à domicile, y compris la chaise de bureau ! Le plaisir n’a toutefois pas non plus été oublié. Des discussions autour de la machine à café en ligne, auxquelles pouvaient participer les travailleurs issus de tout le Benelux, ont par exemple été organisées, tout comme une escape room virtuelle. L’entreprise a par ailleurs prévu différents « moments à la boîte aux lettres ». Ces petites marques d’attention, certes brèves mais agréables, ont ainsi été envoyées aux collaborateurs. Parmi elles se trouvaient une lettre de remerciement pour l’investissement en ces temps difficiles, un pack permettant de partager un apéro virtuel, une carte de Noël, etc. Le contact social a ainsi pu être maintenu au maximum malgré la distance.
Manutan possède même une équipe interne « d’ambassadeurs » constituée de travailleurs qui réfléchissent à comment rendre leur environnement de travail encore plus agréable et qui disposent même d’un budget à cet effet. Parmi les initiatives concrètes se trouvent l’organisation d’un repas de Noël à distance, l’envoi d’une lettre de printemps et de chocolats personnalisés accompagnés d’un chouette message dans la boîte aux lettres des travailleurs à l’occasion de la Saint-Valentin.
Pas d’objectif final
L’ensemble de ces initiatives aboutissent finalement à un joli résultat final. L’obtention de la certification Great Place to Work ne représente cependant pas un point final. « Nous avons tiré de précieuses informations de l’enquête, y compris des suggestions pour parvenir à faire encore mieux. Pour atteindre cet objectif, une communication ouverte et transparente avec les collaborateurs est cruciale. Nous continuons quoi qu’il en soit d’investir dans la formation, l’innovation, l’implication, la mobilité interne et le développement d’un sentiment de fierté. Ou comme nous nous plaisons à le dire chez Manutan : All you need. With love », conclut M. Vanhauwaert.